Jean-François Copé / lundi 8 février 2016 Chers Amis,
Il y a bientôt vingt mois, je décidais de quitter la présidence de l’UMP. Pris pour cible dans ce que chacun appelait à l’époque « l’affaire Bygmalion », mon honneur bafoué par ceux qui tentaient même de la présenter comme une « affaire Copé », je mesurais que la vérité des (...)