Jean-François Copé / lundi 2 mars 2015 En juin 2014, je me suis demandé si je devais tout arrêter. Renoncer face à la violence des attaques, l’ampleur des calomnies. Bien sûr, j’avais parfois été caricatural. Mais là, j’étais tellement caricaturé, sali. A quoi bon continuer ? En avais-je l’envie, la capacité, la force même ? Je me (...)